Différences entre les versions de « Louis XVI (Jean-Christian Petitfils) »
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| − | L’Histoire retient de Louis XVI le portrait caricatural d’un homme affable, mais indécis, obnubilé par la chasse et les serrures, doué de bonnes intentions à l’égard de ses sujets, mais dramatiquement ballotté par les intrigues de Cour et les caprices de la Reine, surpris par la Révolution et traître à son pays au nom d’une conception surannée de l’ordre du monde. '''Ces brèves images traditionnelles s’inscrivent dans le champ d’une historiographie républicaine soucieuse de forger son propre discours des origines, une mythologie que Jean-Christian Petitfils s’attache brillamment à réfuter''', non sans apporter de multiples nuances au destin d’un monarque déchiré par le cours impétueux des événements. | + | [[image: Louis_XVI,_J.-C._Petitfils.jpg]] |
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| + | "L’Histoire retient de Louis XVI le portrait caricatural d’un homme affable, mais indécis, obnubilé par la chasse et les serrures, doué de bonnes intentions à l’égard de ses sujets, mais dramatiquement ballotté par les intrigues de Cour et les caprices de la Reine, surpris par la Révolution et traître à son pays au nom d’une conception surannée de l’ordre du monde. '''Ces brèves images traditionnelles s’inscrivent dans le champ d’une historiographie républicaine soucieuse de forger son propre discours des origines, une mythologie que Jean-Christian Petitfils s’attache brillamment à réfuter''', non sans apporter de multiples nuances au destin d’un monarque déchiré par le cours impétueux des événements" [http://www.histoforum.org/histobiblio/article.php3?id_article=95 (Nicolas Pavillon)] | ||
Version actuelle datée du 18 janvier 2006 à 10:39
"L’Histoire retient de Louis XVI le portrait caricatural d’un homme affable, mais indécis, obnubilé par la chasse et les serrures, doué de bonnes intentions à l’égard de ses sujets, mais dramatiquement ballotté par les intrigues de Cour et les caprices de la Reine, surpris par la Révolution et traître à son pays au nom d’une conception surannée de l’ordre du monde. Ces brèves images traditionnelles s’inscrivent dans le champ d’une historiographie républicaine soucieuse de forger son propre discours des origines, une mythologie que Jean-Christian Petitfils s’attache brillamment à réfuter, non sans apporter de multiples nuances au destin d’un monarque déchiré par le cours impétueux des événements" (Nicolas Pavillon)