Différences entre les versions de « La Révolution nous a apporté ce bien inestimable des Droits de l'Homme »

De Christ-Roi
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==LES VRAIS DROITS DE L'HOMME SONT CEUX QUE LE CHRISTIANISME A DEFINIS==
 
==LES VRAIS DROITS DE L'HOMME SONT CEUX QUE LE CHRISTIANISME A DEFINIS==
"En effet, pour peu que vous veuilliez y réfléchir monsieur et cher ami, vous verrez que les sociétés chrétiennes sont toutes fondées sur le dogme de la '''dignité humaine''', par conséquent sur '''le respect de l'homme pour l'homme et de l'homme pour lui-même'''. En recevant le baptême, elles ont reçu le sentiment et la connaissance de cette grande loi.
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"En effet, pour peu que vous veuilliez y réfléchir monsieur et cher ami, vous verrez que les sociétés chrétiennes sont toutes fondées sur le dogme de la '''[[dignité humaine|dignité humaine''' (la vraie!), par conséquent sur '''le respect de l'homme pour l'homme et de l'homme pour lui-même'''. En recevant le baptême, elles ont reçu le sentiment et la connaissance de cette grande loi.
  
 
"DIEU en personne était descendu du ciel pour leur dire: L'homme est mon fils; il est quelque chose de si grand que je ne le traite moi-même qu'avec un profond respect; sa '''[[liberté|liberté]]''' est pour moi une chose sacrée à laquelle je ne touche jamais (Cum magna reverentia disponis nos. ''Sap''., XII, 18.) - Reliquit illum in manu consilii sui. (''Eccl''., XV, IX.) Au yeux de ma [[justice|justice]] souveraine, l'[[enfer|enfer]], avec ses éternels supplices n'est pas trop pour punir le coupable, qui par ses paroles ou par ses actes, ose attenter à sa '''dignité personnelle''' ou à celle de son frère, ce frère fût-il un petit enfant, le plus pauvre et le dernier des hommes (I ''Cor''., III, 17.; ''Mat''., V, 22; ''Marc''., IX, 41.).
 
"DIEU en personne était descendu du ciel pour leur dire: L'homme est mon fils; il est quelque chose de si grand que je ne le traite moi-même qu'avec un profond respect; sa '''[[liberté|liberté]]''' est pour moi une chose sacrée à laquelle je ne touche jamais (Cum magna reverentia disponis nos. ''Sap''., XII, 18.) - Reliquit illum in manu consilii sui. (''Eccl''., XV, IX.) Au yeux de ma [[justice|justice]] souveraine, l'[[enfer|enfer]], avec ses éternels supplices n'est pas trop pour punir le coupable, qui par ses paroles ou par ses actes, ose attenter à sa '''dignité personnelle''' ou à celle de son frère, ce frère fût-il un petit enfant, le plus pauvre et le dernier des hommes (I ''Cor''., III, 17.; ''Mat''., V, 22; ''Marc''., IX, 41.).

Version du 7 février 2006 à 20:04

LES VRAIS DROITS DE L'HOMME SONT CEUX QUE LE CHRISTIANISME A DEFINIS

"En effet, pour peu que vous veuilliez y réfléchir monsieur et cher ami, vous verrez que les sociétés chrétiennes sont toutes fondées sur le dogme de la [[dignité humaine|dignité humaine (la vraie!), par conséquent sur le respect de l'homme pour l'homme et de l'homme pour lui-même. En recevant le baptême, elles ont reçu le sentiment et la connaissance de cette grande loi.

"DIEU en personne était descendu du ciel pour leur dire: L'homme est mon fils; il est quelque chose de si grand que je ne le traite moi-même qu'avec un profond respect; sa liberté est pour moi une chose sacrée à laquelle je ne touche jamais (Cum magna reverentia disponis nos. Sap., XII, 18.) - Reliquit illum in manu consilii sui. (Eccl., XV, IX.) Au yeux de ma justice souveraine, l'enfer, avec ses éternels supplices n'est pas trop pour punir le coupable, qui par ses paroles ou par ses actes, ose attenter à sa dignité personnelle ou à celle de son frère, ce frère fût-il un petit enfant, le plus pauvre et le dernier des hommes (I Cor., III, 17.; Mat., V, 22; Marc., IX, 41.).

"[...) C'est la notion de la dignité humaine. Sur tous les points du globe, sur les genoux de toutes les mères, le petit enfant bégaye depuis dix-huit siècles ces mots sublimes: Notre Père qui êtes au ciel; je suis l'enfant de Dieu.

"Mais ce n'est pas assez que l'homme connaisse sa dignité, il faut qu'il s'en souvienne et qu'il conforme sa conduite au sentiment qu'il en a: noblesse oblige."

( Mgr Gaume, La profanation du dimanche considérée au point de vue de la religion, de la société, de la famille, de la liberté, du bien-être, de la dignité humaine et de la santé, Editions Saint-Rémi, p. 131-133.)

TANDIS QUE LES (FAUX) DROITS DE L'HOMME SONT UN OUTIL DE DESTRUCTION DE L'HOMME ET DES SOCIETES

Principes désorganisateurs devant conduire à la destruction de toute autorité et de toute religion & au rétablissement des droits imprescriptibles de l'homme primitif" (Abbé Barruel)