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Léon  Gambetta (1838-1882), homme politique français des débuts de la IIIe République.
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                    Léon  Gambetta (1838-1882)
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Homme politique français des débuts de la IIIe République.
  
Gambetta prononce le 4 mai 1877 un discours antireligieux, devant l'Assemblée Nationale. En réponse à une intervention de Monseigneur Ladoue, évêque de Nevers, il ponctue son discours par ces mots: "''le cléricalisme, voilà l'ennemi''". Ces mots ont en fait été empruntés par Gambetta à son ami Républicain Alphonse Peyrat qui les prononça pour la première fois en 1863.  
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Gambetta prononce le 4 mai 1877 un discours antireligieux, devant l'Assemblée Nationale. En réponse à une intervention de Monseigneur Ladoue, évêque de Nevers, il ponctue son discours par ces mots: '''"''le [[cléricalisme|cléricalisme]], voilà l'ennemi''"'''. Ces mots ont en fait été empruntés par Gambetta à son ami Républicain Alphonse Peyrat qui les prononça pour la première fois en 1863.  
  
Le 4 septembre 1870, deux jours après la défaite de Sedan, il prit part à une journée révolutionnaire à l’issue de laquelle, s’étant rendu à l’Hôtel de Ville de Paris, il y proclama la République avec Jules Ferry et Jules Favre.  
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Le 4 septembre 1870, deux jours après la défaite de Sedan, il prit part à une journée révolutionnaire à l’issue de laquelle, s’étant rendu à l’Hôtel de Ville de Paris, il y proclama la République avec le franc-maçon fanatique [[Jules Ferry|Jules Ferry]] et Jules Favre.  
  
 
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Version actuelle datée du 8 février 2006 à 20:02

                    Léon Gambetta
                    Léon  Gambetta (1838-1882)

Homme politique français des débuts de la IIIe République.

Gambetta prononce le 4 mai 1877 un discours antireligieux, devant l'Assemblée Nationale. En réponse à une intervention de Monseigneur Ladoue, évêque de Nevers, il ponctue son discours par ces mots: "le cléricalisme, voilà l'ennemi". Ces mots ont en fait été empruntés par Gambetta à son ami Républicain Alphonse Peyrat qui les prononça pour la première fois en 1863.

Le 4 septembre 1870, deux jours après la défaite de Sedan, il prit part à une journée révolutionnaire à l’issue de laquelle, s’étant rendu à l’Hôtel de Ville de Paris, il y proclama la République avec le franc-maçon fanatique Jules Ferry et Jules Favre.

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