Fatima:Ô mon Jésus

De Christ-Roi
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Notre-Dame révèle la prière Ô mon Jésus aux enfants le 13 Juillet 1917, en disant : Lorsque vous réciterez le chapelet, dites après chaque mystère :

« Ô mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés,
« préservez-nous du feu de l'enfer
« et attirez au Ciel toutes les âmes,
« surtout celles qui en ont le plus besoin.


Différentes versions de la prière

Version originale[1].

O meu Jesus, perdoai-nos, (e) livrai-nos do fogo do Inferno, levai as alminhas todas para o Ceu, principalmente aquelas que mais (d'elle) precisarem.

Traduction littérale : Ô mon Jésus, pardonnez-nous, (et) sauvez-nous du feu de l'enfer, attirez au Ciel toutes les pauvres âmes, principalement celles qui (en) ont le plus besoin


Version française habituelle

Ô mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l'enfer et conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde. (Et que par la miséricorde divine, les âmes des fidèles défunts reposent en paix)


Interprétations

Sœur Lucie[2]

Cette prière a été l'objet de plusieurs interprétations. Les mots : « surtout celles qui en ont le plus besoin » se réfèrent aux âmes qui se trouvent en plus grand danger de condamnation, à savoir celles qui sont en état de péché mortel et d'impénitence, qui ne veulent pas se repentir ni demander pardon à Dieu, obstinées qu'elles sont dans le mal.


Notes

  1. D'après Toute la vérité sur Fatima, Tome 1, p. 241-242 du Frère Michel de la Sainte Trinité, l'authenticité de cette formule ne présente aucune incertitude. Sœur Lucie n'a pas varié sauf sur des détails minimes comme un et de coordination, un pronom en. Le 18 octobre 1946, en dictant au Ch. Barthas, elle rajoute : "et secourez surtout celles..."
  2. Le message de Fatima, Sœur Lucie, p.56, 1° édition, juin 2006, Edition Carmel de Coimbra. Cet ouvrage rapporte les derniers écrites de Sœur Lucie