Différences entre les versions de « Famille »

De Christ-Roi
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"Rien de plus nécessaire, rien de plus délicieux, rien de plus honorable que la famille: voilà qui est vrai toujours. Mais, dans les temps actuels, où la société est divisée en mille partis qui se détestent, en attendant qu'ils se déchirent, la famille est le seul bien commun qui reste à l'homme. Si donc, j'établis avec la dernière évidence que la profanation du dimanche détruit cette chose si indispensable, si sainte et si douce, sera-t-il besoin d'autre motif pour ramener immédiatement le repos sacré du spetième jour? Eh bien! Oui; la profanation du [[dimanche|dimanche]] est la ruine de la famille. En effet, il n'y a pas de famille, sans la pratique des devoirs qui la constituent, et sans lien qui unit les membres qui la composent."
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==La franc-maçonnerie vise à détruire la famille ([[Léon XIII|Léon XIII]], [[Humanum genus|Humanum genus]], 1884.)==
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"'''L'autre dessein, à la réalisation duquel les [[francs-maçons|francs-maçons]] emploient tous leurs efforts, consiste à détruire les fondements principaux de la justice et de l'honnêteté.''' Par là, ils se font les auxiliaires de ceux qui voudraient, qu'à l'instar de l'animal, l'homme n'eût d'autre règle d'action que ses désirs.
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* Ce dessein ne va rien moins qu'à déshonorer le genre humain et à le précipiter ignominieusement à sa perte. Le mal s'augmente de tous les périls qui menacent la société domestique et la société civile.
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* Ainsi que Nous l'avons exposé ailleurs, tous les peuples, tous les siècles s'accordent à reconnaître dans le mariage quelque chose de sacré et de religieux et la loi divine a pourvu à ce que les unions conjugales ne puissent pas être dissoutes. Mais si elles deviennent purement profanes, s'il est permis de le rompre au gré des contractants, aussitôt la constitution de la [[famille|famille]] sera en proie au trouble et à la confusion; les femmes seront découronnées de leur dignité; toute protection et toute sécurité disparaîtront pour les enfants et pour leurs intérêts.
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([[Léon XIII|Léon XIII]],  [http://www.vatican.va/holy_father/leo_xiii/encyclicals/documents/hf_l-xiii_enc_18840420_humanum-genus_fr.html Lettre Encyclique Humanum genus, 1884].)
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==La profanation du dimanche est la ruine de la famille==
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"Rien de plus nécessaire, rien de plus délicieux, rien de plus honorable que la famille: voilà qui est vrai toujours. Mais, dans les temps actuels, où la société est divisée en mille partis qui se détestent, en attendant qu'ils se déchirent, la famille est le seul bien commun qui reste à l'homme. Si donc, j'établis avec la dernière évidence que la profanation du dimanche détruit cette chose si indispensable, si sainte et si douce, sera-t-il besoin d'autre motif pour ramener immédiatement le repos sacré du septième jour? Eh bien! Oui; la profanation du [[dimanche|dimanche]] est la ruine de la famille. En effet, il n'y a pas de famille, sans la pratique des devoirs qui la constituent, et sans lien qui unit les membres qui la composent."
  
 
"[...] Or, nuls devoirs n'exigent autant de dévouement, de sollicitude, de sacrifices, de persévérance,c 'est--à-dire de véritable courage, que les devoirs de la famille. DIEU seul peut le donner et le soutenir. Le donnera-t-il si l'on ne daigne pas même le lui demander? et le demande-t-on sérieusement, quand on profane le jour consacré à la prière? [...] Mais sans prières, et surtout sans prièresen commun au pied des saints autels, sans participation commune au banquet divin, sans édification mutuelle, par conséquent sans la grâce divine, que devient le courage chrétien, que devient la famille?"
 
"[...] Or, nuls devoirs n'exigent autant de dévouement, de sollicitude, de sacrifices, de persévérance,c 'est--à-dire de véritable courage, que les devoirs de la famille. DIEU seul peut le donner et le soutenir. Le donnera-t-il si l'on ne daigne pas même le lui demander? et le demande-t-on sérieusement, quand on profane le jour consacré à la prière? [...] Mais sans prières, et surtout sans prièresen commun au pied des saints autels, sans participation commune au banquet divin, sans édification mutuelle, par conséquent sans la grâce divine, que devient le courage chrétien, que devient la famille?"
  
 
([[Mgr Gaume| Mgr Gaume]], ''La profanation du dimanche considérée au point de vue de la religion, de la société, de la famille, de la liberté, du bien-être, de la dignité humaine et de la santé'', [http://editions.saint-remi.chez.tiscali.fr/ Editions Saint-Rémi], p. 69; 73.)
 
([[Mgr Gaume| Mgr Gaume]], ''La profanation du dimanche considérée au point de vue de la religion, de la société, de la famille, de la liberté, du bien-être, de la dignité humaine et de la santé'', [http://editions.saint-remi.chez.tiscali.fr/ Editions Saint-Rémi], p. 69; 73.)

Version du 10 février 2006 à 19:41

La franc-maçonnerie vise à détruire la famille (Léon XIII, Humanum genus, 1884.)

"L'autre dessein, à la réalisation duquel les francs-maçons emploient tous leurs efforts, consiste à détruire les fondements principaux de la justice et de l'honnêteté. Par là, ils se font les auxiliaires de ceux qui voudraient, qu'à l'instar de l'animal, l'homme n'eût d'autre règle d'action que ses désirs.

  • Ce dessein ne va rien moins qu'à déshonorer le genre humain et à le précipiter ignominieusement à sa perte. Le mal s'augmente de tous les périls qui menacent la société domestique et la société civile.
  • Ainsi que Nous l'avons exposé ailleurs, tous les peuples, tous les siècles s'accordent à reconnaître dans le mariage quelque chose de sacré et de religieux et la loi divine a pourvu à ce que les unions conjugales ne puissent pas être dissoutes. Mais si elles deviennent purement profanes, s'il est permis de le rompre au gré des contractants, aussitôt la constitution de la famille sera en proie au trouble et à la confusion; les femmes seront découronnées de leur dignité; toute protection et toute sécurité disparaîtront pour les enfants et pour leurs intérêts.

(Léon XIII, Lettre Encyclique Humanum genus, 1884.)

La profanation du dimanche est la ruine de la famille

"Rien de plus nécessaire, rien de plus délicieux, rien de plus honorable que la famille: voilà qui est vrai toujours. Mais, dans les temps actuels, où la société est divisée en mille partis qui se détestent, en attendant qu'ils se déchirent, la famille est le seul bien commun qui reste à l'homme. Si donc, j'établis avec la dernière évidence que la profanation du dimanche détruit cette chose si indispensable, si sainte et si douce, sera-t-il besoin d'autre motif pour ramener immédiatement le repos sacré du septième jour? Eh bien! Oui; la profanation du dimanche est la ruine de la famille. En effet, il n'y a pas de famille, sans la pratique des devoirs qui la constituent, et sans lien qui unit les membres qui la composent."

"[...] Or, nuls devoirs n'exigent autant de dévouement, de sollicitude, de sacrifices, de persévérance,c 'est--à-dire de véritable courage, que les devoirs de la famille. DIEU seul peut le donner et le soutenir. Le donnera-t-il si l'on ne daigne pas même le lui demander? et le demande-t-on sérieusement, quand on profane le jour consacré à la prière? [...] Mais sans prières, et surtout sans prièresen commun au pied des saints autels, sans participation commune au banquet divin, sans édification mutuelle, par conséquent sans la grâce divine, que devient le courage chrétien, que devient la famille?"

( Mgr Gaume, La profanation du dimanche considérée au point de vue de la religion, de la société, de la famille, de la liberté, du bien-être, de la dignité humaine et de la santé, Editions Saint-Rémi, p. 69; 73.)